D''abord merci aux 160 personnes qui sont venues lire, découvrir, discuter, retrouver des souvenirs, prendre des photos , rester quelques minutes ou plus de deux heures....
Ce fut souvent des échanges riches : on a parlé des ânes, de l'ambiance que génère l'endroit, des fauteuils accueillants, de Panazô et son âne Petofer, de Bim de Picotin , de la Comtesse de Ségur, de Prévert, des contes ...que sais je encore ...
Tenir cette expo , c'est y consacrer 40 heures de permanence sur l'été en plus de la préparation-montage et le démontage pas encore commencé ...c'est aussi profiter des moments avec les visiteurs, valoriser les heures de permanence lorsque j'étais seule pour anticiper les lectures du biblio'âne de la semaine ou lire pour le plaisir !!
Petite rétrospective avec les photos-rappel parues sur les réseaux sociaux (vu qu'aucune publicité n' était faite de cette présentation-exposition )
A comme âne |
la charrette comtesse de Ségur, et au fond Picotin : nostalgie ! |
Pinocchio transformé en âne ! |
le monde !! avec les ânes ! |
2 contes en mille versions ! |
les fables, le temps et leurs illustrateurs !! |
Petite vue du lieu |
des fauteuils pour lire confortablement ! |
brin de poésie devant les fauteuils |
La table "culture locale de l'âne " |
l'âne et la lecture !!!! |
* Gros comme le cœur d'un âne !
L'âne
de Buridan, objet de
raillerie, le petit
âne gris
de Hugues Auffray, objet d'humilité, « l'âne si doux marchant
le long des houx » de Francis Jammes, objet de compassion, le
stupide Aliboron de Jean Ferrat, reflet de l'impuissance humaine.
Cadichon de la comtesse de Ségur, objet de caprices , Grison, l'âne
des musiciens de Brême, symbole de la révolte des exclus.
Modestine, l'ânesse de Stevenson, symbole de compagnie et de
labeur...Mais jamais l'âne objet d'indifférence.
Décrié par les uns, adulé par les autres, cet animal participe à la vie ordinaire de nos contemporains, comme il le faisait avec les générations précédentes, pas à pas, rarement héros mais toujours présent . Il a su ainsi gagner le cœur du public et surtout des enfants, un capital sympathie qui lui fait son succès à l'heure actuelle.
Ext Préface de Jean François Cottrant de Anes et Mulets
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