samedi 17 avril 2021

detective charlie....il faut vider le commissariat !!!

Si la ludothèque comprend des jeux d’enquête, nous n'avons ne sommes toujours pas lancé dans cette aventure-là....et pourtant le côté partage de connaissances, discussions me tente vraiment...le jeu solo moins...ce qui est sans doute la raison de leur ......................: pas de joueurs tentés par cette aventure autour de nous !!

Alors lorsque mes petits enfants ont eu envie de se lancer dans detective Charlie, c'était une découverte des mécanismes de jeu pour tous !!

Eh bien l'aventure est agréable ! Et les énigmes pas toujours si évidentes...
Certes il s'agit d'indices qui innocentent les suspect qui sont au commissariat (cartes exposées autour de la boîte), ils sont adaptés au raisonnement des enfants de cet âge (7ans) qui maîtrisent la déduction par élimination, certains sont visuels ...beaucoup font appel à la compréhension de la lecture (par eux mêmes ou aidés), les protagonistes des enquêtes des animaux , bien adaptés à leur imaginaire et l'idée du commissariat-boîte parachève l'immersion.
La tension monte lorsque le temps imaginaire s'écoule...réduisant les possibilités de victoire (contre la montre)

Fière de sa victoire !!

 Et ma petite fille adore !! Elle est bien plus perspicace que moi...j'avais introduit mon propos pour me justifier de mon incapacité à trouver certains indices.... ce jeu m'a séduit et je me sens prête pour des jeux plus costauds dans le genre !!

Ce jeu a pourtant un défaut: il est addictif et les six enquêtes de la boîte seront vite résolues par la cheffe enquêteuse ...
La boîte pourra séduire de nouveaux apprentis détectives .(rien n'est abîmé au cours du jeu (rescotcher les enveloppes de solution est facile !)


Quant à notre petite fille , elle s'est empressée de remplir son carnet de détective avec ses performances . cette idée de carnet est  très bonne , surtout que nous avons pris le soin d'en faire des copies pour que les prochains aient le même plaisir !!

 

 un jeu de Théo Rivière illustré par Piper Thibodeau

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