J'avais certainement été trop charmée par les avis sur Nidavellir, présenté comme un jeu familial avec un design un peu décalé en faisant un objet ludique original....
Le choix des dessins très fouillés en noir et blanc, le matériel (au premier abord superflu) pour tenir cartes et pièces de monnaie à la verticale...auguraient d'un jeu pas si facile que je m'y étais attendue
Et puis j'ai pris la règle en mains...et j'ai abandonné; A première lecture,rien que le choix de présenter dans les règles chaque joueur sous le vocable elvalan (plus immersif) ajoute un obstacle à la lisibilité
Jean François a pris le relais et buté sur les mêmes écueils !! Il a persévéré pour s'apercevoir que derrière une explication de décompte de points par famille de nains très difficile à s'approprier, il y avait des pictogrammes sur les pièces du jeu qui explicitaient toute l'affaire !!
Évidemment, comme toujours il faut aussi assimiler lesdits pictogrammes qui sont loin d'être "normalisés" et donc communs à tous les jeux, ce qui le fait râler (mais c'est pareil avec les boîtes de vitesse des voitures !!) ...mais une fois ces choix technico-artistiques admis, le jeu se révèle effectivement pas si compliqué !
Malgré tout il combine de nombreux mécanismes :
Il y a une phase de mise (plus que d'enchères comme je l'ai lu ça et là) pour gagner des cartes et à l'intérieur de cette phase de mise un petit mécanisme de combo grâce à une mise de zéro qui permet d’augmenter la valeur de ses pièces ...de plus la plus haute pièce ainsi obtenue peut être intégrée au décompte final
Puis une phase de choix de cartes en fonction des mises...c'est là que Jean François décrit le jeu comme un jeu de 7 familles !! Sans être aussi réducteur, c'est vrai qu'il faut constituer des ensembles de 5 nains de familles différentes pour obtenir un héros qui développe considérablement votre jeu...C'est souvent le choix de ces héros qui vous fait gagner en démultipliant les points !!
Ce que j'aime c'est donc que même les nains mineurs qui ne sont pas les plus rémunérateurs doivent être l'objet de convoitise puisqu'ils sont nécessaire pour constituer l'ensemble des 5 familles...ça équilibre grandement les choix de cartes ...Il ne suffit pas de prendre à grands coups de mise les meilleures cartes, il faut qu'elles VOUS soient nécessaires...
De plus le tempo du jeu est important, choisir les héros quand il y a le plus de choix ...s'avère décisif .
Quelques mécanismes de décompte intermédiaire ou final font intervenir un système de majorité ...
Pour conclure, un jeu familial à condition quand même d'avoir rencontré quelques uns des mécanismes de jeu ici combinés...
Confinement oblige, encore un jeu testé "qu'à deux" où l'on sent que le choix des cartes sera beaucoup plus tendu avec un plus grand nombre de joueurs et le tempo beaucoup plus serré !!
car Nidavellir est un jeu d'une durée contenue (1/2 heures à 3/4 d'heure)
Pour l'instant Jean François a toujours près de 100 points d'avance sur moi*, mon côté "besogneux" ne paie pas , j'assemble une à une mes lignes tandis qu'il en ouvre beaucoup au risque de ne pas les finir ...et c'est gagnant, cela lui permet souvent de finir plusieurs lignes en 1 tour et ce grâce aux héros choisi.......et là pour moi c'est le drame, non seulement il prend de l'avance au score mais en plus il rafle les héros que je convoitais !....
Si les joueurs n'interviennent pas DANS le jeu de l'autre, par contre , l'interaction dans le choix des cartes et héros se fait vraiment sentir, on en veut presque à l'autre !!
* Note: j'arrive à présent à le talonner au score !
Le choix des dessins très fouillés en noir et blanc, le matériel (au premier abord superflu) pour tenir cartes et pièces de monnaie à la verticale...auguraient d'un jeu pas si facile que je m'y étais attendue
Et puis j'ai pris la règle en mains...et j'ai abandonné; A première lecture,rien que le choix de présenter dans les règles chaque joueur sous le vocable elvalan (plus immersif) ajoute un obstacle à la lisibilité
Jean François a pris le relais et buté sur les mêmes écueils !! Il a persévéré pour s'apercevoir que derrière une explication de décompte de points par famille de nains très difficile à s'approprier, il y avait des pictogrammes sur les pièces du jeu qui explicitaient toute l'affaire !!
Évidemment, comme toujours il faut aussi assimiler lesdits pictogrammes qui sont loin d'être "normalisés" et donc communs à tous les jeux, ce qui le fait râler (mais c'est pareil avec les boîtes de vitesse des voitures !!) ...mais une fois ces choix technico-artistiques admis, le jeu se révèle effectivement pas si compliqué !
 | |
| hésitation au moment de choisir le héros |
Malgré tout il combine de nombreux mécanismes :
Il y a une phase de mise (plus que d'enchères comme je l'ai lu ça et là) pour gagner des cartes et à l'intérieur de cette phase de mise un petit mécanisme de combo grâce à une mise de zéro qui permet d’augmenter la valeur de ses pièces ...de plus la plus haute pièce ainsi obtenue peut être intégrée au décompte final
Puis une phase de choix de cartes en fonction des mises...c'est là que Jean François décrit le jeu comme un jeu de 7 familles !! Sans être aussi réducteur, c'est vrai qu'il faut constituer des ensembles de 5 nains de familles différentes pour obtenir un héros qui développe considérablement votre jeu...C'est souvent le choix de ces héros qui vous fait gagner en démultipliant les points !!
Ce que j'aime c'est donc que même les nains mineurs qui ne sont pas les plus rémunérateurs doivent être l'objet de convoitise puisqu'ils sont nécessaire pour constituer l'ensemble des 5 familles...ça équilibre grandement les choix de cartes ...Il ne suffit pas de prendre à grands coups de mise les meilleures cartes, il faut qu'elles VOUS soient nécessaires...
De plus le tempo du jeu est important, choisir les héros quand il y a le plus de choix ...s'avère décisif .
Quelques mécanismes de décompte intermédiaire ou final font intervenir un système de majorité ...
Pour conclure, un jeu familial à condition quand même d'avoir rencontré quelques uns des mécanismes de jeu ici combinés...
Confinement oblige, encore un jeu testé "qu'à deux" où l'on sent que le choix des cartes sera beaucoup plus tendu avec un plus grand nombre de joueurs et le tempo beaucoup plus serré !!
car Nidavellir est un jeu d'une durée contenue (1/2 heures à 3/4 d'heure)
Pour l'instant Jean François a toujours près de 100 points d'avance sur moi*, mon côté "besogneux" ne paie pas , j'assemble une à une mes lignes tandis qu'il en ouvre beaucoup au risque de ne pas les finir ...et c'est gagnant, cela lui permet souvent de finir plusieurs lignes en 1 tour et ce grâce aux héros choisi.......et là pour moi c'est le drame, non seulement il prend de l'avance au score mais en plus il rafle les héros que je convoitais !....
Si les joueurs n'interviennent pas DANS le jeu de l'autre, par contre , l'interaction dans le choix des cartes et héros se fait vraiment sentir, on en veut presque à l'autre !!
* Note: j'arrive à présent à le talonner au score !
Eh bien force est de constater que ce jeu tourne beaucoup, à 2 à 3 ou à 4 c'est le jeu qui est le plus sorti cet été . Un très bon jeu !!
Nous l'avons certes de notre coté apprivoisé, mais même en démonstration à des joueurs ne le connaissant pas, il plait !!
Il fonctionne à merveille dans toutes les figurations, (il faut s'adapter quand même car le jeu tourne de plus en plus vite)et finalement pour un jeu qu'on pensait de prime abord un peu difficile d'accès malgré des mécanismes simples...il séduit très facilement les joueurs ...il mérite les avis qui m'avaient tant donné envie d'y jouer???bref, on l'adore !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire