Celestia...le cloud (9) comme vous l'imaginiez !

 Hier soir surprise ! L'un de nos joueurs pourtant stratège nous réclame célestia...
Je lui avoue que le jeu est à disposition mais que personnellement je ne l'ai pas pratiqué étant restée bloquée sur la version antérieure du jeu Cloud 9 plus facile à lancer dans mes interventions avec les apprenants de la langue française.

 Donc c'est lui qui se colle à l'explication de règles , vraiment très proches de son ancêtre: quelques pouvoirs introduits qui pimentent le jeu, un marquage de points plus aléatoire et plus fun et surtout surtout une refonte totale de l'univers !! 

la boîte même les bords du fond sont illustrés des personnages du jeu

 Et quelle réussite !!! On passe de cartes et plateau avec quelques couleurs et numéros qu'une nacelle plastique parcourt à des tuiles-cités qu'un aéronef nous permet de parcourir afin de rejoindre la fabuleuse Célestia

les cités

 
Sur le mécanisme stop ou encore les joueurs décident de suivre le lanceur de dés (pilote) ou non et acquièrent en conséquence plus ou moins de points en fonction de là où ils se sont arrêtés.
L'originalité de ce stop ou encore, c'est que l'on se positionne sur la confiance par rapport à un autre joueur, sensation très différente d'un tirage personnel stop encore comme dans l’emblématique can't stop.
On se surprend à affirmer très docte:" je te fais confiance !" et rien que ça insuffle une ambiance de complicité ou de suspicion autour de la table

l'aéronef prêt à nous embarquer , super objet tout carton !

 
Hier soir à 6 , le jeu a tourné à merveille et je crois qu'il a définitivement détrôné Cloud 9  chez nous , un jeu qui sortait déjà beaucoup !!
les jeux à 6 qui ne traînent pas en longueur ne sont pas si nombreux et l'univers onirique, un peu steam (aéronef oblige) est fabuleux !!
Après des jeux plus cérébraux , il nous a permis de nous détendre tout en nous proposant un vrai moment ludique et joyeux !!

les cartes pour continuer le voyage..ou non

 
Merci au gentil joueur de l'avoir proposé .

 un jeu de Aaron Weisssblum illustré par Quentin Noir, aéronef : Philippe Christin